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PRP et tendinopathies

La fasciite plantaire :

 

a fait l’'objet d’une publication par Barret et Erredge en 2004 (14) sur une petite série de 9 patients résistants au traitement médical habituel, injectés sous contrôle échographique, obtenant 77,9% de guérison à 1 an, sans groupe contrôle. Le traitement médical n’incluait pas le traitement par ondes de choc extracorporelles qui donnent d‘'excellents résultats et doit être un préalable au PRP. R.J. Devos (10) a retenu 3 études (16, 17, 18) pour leur méthodologie de qualité, avec des résultats mitigés.
 
La tendinopathie patellaire chronique ou jumper’s knee:

 

est une pathologie sportive parfois invalidante pour les athlètes. Moins invasif et avec des suites courtes, le PRP peut présenter une alternative intéressante à la chirurgie dans ces tendinopathies rebelles, résistantes au traitement médical bien conduit incluant physiothérapie, massage transversal profond, AINS et travail dynamique excentrique.
 
Graziani (20) a étudié l’'action in vitro des concentrés plaquettaires sur les ostéoblastes et les fibroblastes.

 

Il a mis en évidence le rôle stimulateur du PRP sur la prolifération cellulaire, particulièrement nette à 72 heures, maximum pour une concentration plaquettaire de 2,5x des concentrations plus élevées réduisent cette prolifération.

 

Cette étude est un élément de réponse dans le choix de la concentration en plaquettes à utiliser dans les protocoles thérapeutiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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